L’argent colloïdal : ce que le cartel pharmaceutique vous cache
Publié par
Zone-7
le 28/08/2009 dans » Techniques
Cette
histoire, c’est celle de l’argent colloïdal. Bactéricide hors pair,
germicide par excellence, antibiotique naturel, l’argent colloïdal est
source de plusieurs guérisons “miraculeuses” que les sceptiques ne sont
pas prêts d’accepter. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. Se
guérir d’une hépatite, d’un cancer, d’une vilaine grippe ou d’une
affection de la peau ? La réponse se trouve sous le couvercle d’une
petite bouteille opaque dont la solution aqueuse renferme des ions
d’argent et d’infimes particules d’argent dites colloïdales,
c’est-à-dire en suspension. L’argent colloïdal élimine plus de 650
espèces de microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures,
champignons et mycoplasmes, dont certains en quelques minutes seulement.
Le tout sans aucun effet secondaire nocif connu ? Allons donc ! Ce
serait trop beau pour être vrai.
Et ce n’est pas tout.
La préparation de cette substance ne requiert ni laboratoire, ni connaissances poussées en chimie ou en pharmacologie. Le tout peut être préparé avec des instruments et une technique dont la simplicité est déconcertante. Pas étonnant que le cartel pharmaceutique en interdise la vente dans plusieurs pays et qu’aucune recherche “officielle” n’ait été financée par ledit groupe. Il est de loin préférable pour leurs profits que cette information soit le plus méconnue possible. Alors à nous de jouer.
L’utilisation de l’argent pour traiter maladies, brûlures, blessures et autres joies de la vie corporelle n’est pas récente. L’argent colloïdal n’est pas un nouveau traitement ou une découverte récente, c’est plutôt un “remède de grand-mère”, moyennant que cette grand-mère ait vécu à une époque très lointaine . Depuis la plus haute antiquité, et peut-être même avant, l’argent était déjà connu pour ses propriétés germicide et bactéricide. Voici ce qu’en dit Frank Goldman dans son livre Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal :
Il était employé dans des ustensiles destinés aux enfants afin de les protéger contre des maladies dont l’origine n’était pas connue à ces époques. L’expression “Être né avec une cuillère d’argent dans la bouche” vient de ce phénomène, son utilisation récente comme indication de richesse n’est qu’une conséquence. Les Vénitiens transportaient eau, vin et vinaigre dans des réservoirs en argent pour les conserver ; lors de la conquête de l’ouest américain, les pionniers protégeaient leur réserve d’eau, de lait et d’aliments en plaçant des pièces de monnaie en argent dans leurs outres, barriques ou récipients pour en préserver la fraîcheur. Alexandre Le Grand (356-323 av. J.C) transportait son eau dans des récipients argentés. La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient leurs boissons dans des coupes en argent.
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L’utilisation médicale de l’argent a une longue tradition, les
Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider
à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l’apogée de la
phytothérapie du temps d’Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus
de 230 plantes médicinales dans son ouvrage “Corpus Hippocraticum”,
science à laquelle il avait été initié par son père, Héraclide. Il la
développa et l’exerça en tant que médecin itinérant au cours de ses
voyages en Asie Mineure et en Grèce et, à cette époque, il enseigna à
ses disciples que la fleur d’argent (poudre extra-fine) cicatrisait les
blessures ulcérées.
Au Moyen Âge, les médecins arabes employaient l’argent dans le traitement des palpitations et des rétentions hydriques. Pour les alchimistes, l’argent correspondait à la lune (macrocosme) et à la tête (microcosme), il fut donc administré aux fous et aux épileptiques. C’est au XVIIIe siècle que le nitrate d’argent devint une thérapeutique de choix pour le traitement des plaies, des ulcères et de la plupart des affections de la peau.
On comptait plus de 60 préparations à base d’argent dans la pharmacopée du XIXe siècle.
En 1869 le scientifique Ravelin indiquait que l’argent à doses infimes déployait des effets antimicrobiens.
En 1881 le gynécologue de Leipzig, Carl Sigmund Franz Crède (1819-1882), recommandait de prévenir l’inflammation de l’œil du nouveau-né par le traitement d’une solution à 1 % de nitrate d’argent. Les résultats étaient tellement impressionnants qu’on a ordonné ce traitement, nommé “Prophylaxie Crède”, pour les nouveaux-nés ! Avec l’instauration de cette pratique, le taux d’ophtalmie des nouveau-nés tomba rapidement de 10 % à 0,2 %. En conséquence, cette pratique devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens.
En 1893, le botaniste suisse Von Nägeli (1871-1938) découvrait que la concentration de seulement 0.000 000 1 % des ions argentés suffisent pour tuer le germe spirogyre (une algue verte d’eau douce, se présentant sous la forme de filaments) qui se trouve dans l’eau fraîche.Les propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal furent énoncées au début du XXe siècle.
Les Chinois utilisent l’acupuncture depuis environ 7 000 ans. Ils ont rapidement découvert l’effet antimicrobien des aiguilles en argent. On peut penser que des milliers d’acupuncteurs de par le monde utilisent aujourd’hui des aiguilles argentées pour l’acupuncture.L’argent est toujours utilisé dans la médecine traditionnelle indienne (ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques, inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et ménorragies.En 1928, Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans des systèmes de filtration pour l’eau domestique. Actuellement, plus que la moitié des lignes aériennes mondiales emploient l’argent pour traiter l’eau des avions destinée aux usagers. Les Américains et les Russes ont choisi un système de traitement de l’eau à base d’argent pour leurs navettes spatiales.Aux É.-U., des villes ont choisi l’argent pour traiter les eaux usées, dans certains hôpitaux l’installation de système d’ionisation argent/cuivre ont permis d’éradiquer la Legionella Pneumophila de leurs réseaux d’eau chaude.
Bien qu’il soit encore utilisé, l’argent colloïdal a disparu des
cabinets des médecins lors de l’arrivée des antibiotiques vers la fin
des années 30. Il était pourtant considéré comme étant le “nec plus
ultra” des traitements pour un nombre impressionnant d’affections, mais
cartel pharmaceutique et propension au profit obligent, l’argent
colloïdal est rapidement tombé dans l’oubli.
La magie de L’argent colloïdal
L’argent colloïdal en usage externe peut être utilisé pour accélérer
la cicatrisation des brûlures et de diverses blessures ou encore pour
soigner une panoplie d’affections de la peau, des yeux, des oreilles,
etc. Il est communément bu afin de combattre efficacement et rapidement
toute infection virale ou bactérienne. Même que plusieurs personnes (moi
inclus) en prennent quotidiennement de façon préventive et/ou en tant
que complément alimentaire. Il peut aussi être vaporisé dans les voies
respiratoires à l’aide d’un nébuliseur ou même utilisé en intraveineuse
dans les cas plus graves. Bref, à la sauce du jour, selon vos maux.
Traiter ces types de pathologie est une chose, mais qu’en est-il des
maladies plus graves telles que les cancers ?
L’argent colloïdal a plus d’un tour dans son sac. Il ne lui suffisait
pas d’être un antibiotique, un germicide et un bactéricide hors du
commun, il lui fallait plus. Et plus, il est. Le Dr Becker, auteur de
The electric body (1985), a étudié le mécanisme par lequel les ions
d’argent régénèrent les tissus et voici une des conclusions à laquelle
il est arrivé :
Les ions d’argent forment un complexe avec les cellules vivantes autour de la blessure pour produire des cellules-souches immédiatement convertibles. Le résultat net de cette conversion est que les cellules-souches fournissent toutes les composantes nécessaires à la restauration complète de toute structure atomique.[2]
Nous parlons donc ici de régénération des tissus, rien de moins ! Un
délire de science-fiction ? Un leurre ? Je vous entends presque dire :
“Si c’est trop beau pour être vrai…”. Mais lorsque nous saisissons la
mécanique de profit du monde dans lequel nous vivons, nous comprenons
rapidement qu’une telle panacée n’est aucunement rentable. En effet, si
tous les “gens du peuple” arrivent à se guérir de la majorité des
affections qu’ils subissent, le cartel pharmacomédical en prendrait pour
son rhume . Et c’est exactement la raison pour laquelle aucune étude
sérieuse (officielle) des bienfaits de l’argent colloïdal n’a été
entreprise par l’establishment médical. Beaucoup d’informations sur le
sujet sont tout de même disponibles et l’AC peut se faire à l’aide d’une
simple électrolyse.
Voici une liste non exhaustive (recueillie sur le Net ) de pathologies pour lesquelles l’argent colloïdal s’est avéré efficace :
Abcès, Acné, Allergies, Amygdales, Angines, Aphtes, Arthrite, Asthme,
Blessures, Plaies, Bronchite, Brûlures, Coups de soleil, Cancer,
Candida albicans, Cellulite, Colite, Conjonctivite, Maladie de Crohn,
Soins du cuir chevelu, Dents (carries), Diarrhée, Eczéma, Fatigue
chronique, Infection de l’estomac, Fibromyalgie, Gale, Hépatite C,
Herpès, Hidrosadénite, Ulcères d’estomac, Diabète, Choléra, Malaria,
Peste bubonique et Lèpre, HIV/Sida, Infections des poumons, Infections
cutanées, Problèmes de foie, Yeux, Oreilles, Reins, Vessie, Voies
urinaires, Intoxication alimentaire, Kystes, Levures, Maladie de Lyme,
Moisissures, Mycoses, Pancréatite, Pellicules, Mauvaise haleine,
Pneumonie, Rhumes et Grippes, Saignements, Sclérose en plaques,
Sinusite, Stérilité, Teigne, Varicelle, Verrues, Zona…
D’autres exemples de pathologies sont présents dans le livre de Frank Goldman.Effets secondaires et argyrose
J’ai mentionné en début d’article qu’il n’y avait aucun effet
secondaire à l’utilisation de l’agent colloïdal. C’est vrai et c’est
faux à la fois. C’est vrai dans la mesure où il n’y a aucun effet
secondaire négatif, c’est-à-dire dommageable pour la santé. Mais c’est
faux en ce qui concerne certains symptômes.
“L’effet Jarisch-Herxheimer” ou ce que l’on nomme une “crise de
guérison” sera le principal effet secondaire de quiconque se soigne
d’une grave affection (idem pour les utilisateurs des générateurs de
fréquences “Rife”). L’élimination rapide d’un très grand nombre d’agents
pathogènes provoque une réaction corporelle tout à fait naturelle en
procédant au rejet des corps inertes par les voies naturelles. En somme,
les symptômes d’une ” crise de guérison ” se traduisent par plus ou
moins ceux d’un rhume ou d’une grippe : mal de gorge, mal de tête,
écoulement nasal, etc. Cette condition n’est que passagère et peut être
tempérée par l’arrêt ou la diminution des doses ingérées.
L’argyrose, quant à elle, est une coloration grise ou brunâtre de la
peau ou des muqueuses, due à une intoxication par des sels d’argent.
Bien que l’argyrose ne soit pas une condition esthétiquement
souhaitable, elle n’est en rien dangereuse pour la santé. Et bien
qu’elle soit liée directement à l’argent, elle n’est en rien créée par
l’ingestion ou l’utilisation en surface des colloïdes d’argent. En
effet, les colloïdes sont des particules extrêmement petites et ont, de
ce fait, la particularité de ne pas s’accumuler dans le corps comme le
ferait l’ingestion de particules plus grosses tels les sels d’argent.
Bien que CNN ait mené une propagande de peur relativement à l’argent colloïdal,
l’argyrose ne concerne pas les consommateurs d’argent colloïdal outre
s’ils consomment des produits de mauvaise qualité dans lesquels on
retrouve une quantité trop importante de sels d’argent. Raison pour
laquelle il est important de savoir exactement ce que l’on ingurgite.
La fabrication d’argent colloïdal
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Quoique la fabrication de l’AC soit d’une simplicité déconcertante,
il est important d’en bien comprendre le principe. Une solution d’argent
colloïdal pure et bien réussie sera claire et transparente. Cela est
important, car lorsque nous glanons les informations sur le Net, nous
nous heurtons à des versions biens différentes. Certains prétendent
qu’une solution jaune pâle ou d’un blanc brumeux est le signe d’un bon
résultat, d’autres prétendent qu’il est possible de faire de l’AC avec
l’eau du robinet ou de l’eau de source. Tout ceci est faux.
L’utilisation d’une eau contenant des minéraux donnera invariablement
une solution dans laquelle nous retrouverons des sels d’argent, principe
de l’électrolyse oblige. Il est donc impératif de faire son argent
colloïdal avec de l’eau distillée ou déminéralisée. Qui plus est, une
coloration blanchâtre indique la présence de sels et une forte
coloration jaunâtre indique que les particules sont trop grosses.
Certaines préparations d’AC prendront différentes teintes : rougeâtre,
brunâtre, bleuâtre, etc. Toutes ces couleurs indiquent que les
particules d’argent en suspension (les colloïdes) ne sont pas assez
petites et que la solution est donc de piètre qualité. Certes, ce sera
tout de même une solution d’argent colloïdal, mais il n’est pas
conseillé de l’utiliser de la sorte. En cas de survie, sans médicaments
disponibles, faire de l’AC à la va-comme-je-te-pousse
demeure tout de même une excellente façon d’éradiquer les pathogènes
nous affectant. Mais dans le confort matériel de nos vies présentes, un
peu de temps, de patience et de lecture permettent la création d’un
produit “propre”.
NOTE : La
coloration jaunâtre est sujette à maints débats. Pour ma part, après
vérification, j’en conclus qu’il est acceptable qu’une solution ait une
légère (très légère) coloration jaunâtre si elle est claire. La raison
étant que la grosseur des particules dans ce cas demeure acceptable
(entre 1 et 10 nanomètres), mais ce n’est que ma conclusion personnelle
et aussi je recommande fortement que la solution finale soit claire et
limpide.
Le
matériel de base consiste en 4 piles 9 volts, deux tiges (ou tout
autres pièces) d’argent pur .999 ou .9999, de l’eau distillée ou
déminéralisée, deux pinces “crocodile” et un testeur de densité.De plus, un voltmètre, une minuterie, deux connecteurs pour piles 9 volts ainsi qu’un mélangeur permettront de parfaire l’art de la création d’AC, mais ne sont pas requis.
Le principe en soi est simple : c’est de l’électrolyse.
Les deux pièces d’argent servent d’électrodes, les pinces crocodile
sont connectées aux piles (qui sont emboîtées en série) ainsi qu’aux
pièces d’argent qui baignent dans de l’eau distillée ou déminéralisée.
Le temps que les pièces d’argent doivent demeurer
sous tension dépend de la concentration d’argent colloïdal que nous
désirons obtenir. Cette concentration, calculée en ppm (particules par
million), dépendra à son tour d’un grand nombre de facteurs. En effet,
une électrolyse de la sorte est une électrolyse de précision et le
moindre facteur, tel que la température de l’eau et de l’air ambiant, la
phase de la lune, le champ magnétique terrestre, la pression
atmosphérique, etc., jouera un rôle dans le processus. Tout ceci sans
compter d’autres paramètres évidents tels que la distance entre les
électrodes, la qualité de l’eau de départ, la surface d’argent
accessible, etc. Pour ces raisons, il n’y a pas de “recette miracle” qui
garanti une concentration particulière avec des paramètres donnés et
fixes. Ne vous fiez pas trop à ce qu’on en dit sur le Net car plusieurs
personnes donneront des indications précises en avançant que vous
obtiendrez une concentration de X ppm. Ne prenez ces indications que
comme un guide de départ car sans testeur de densité, l’opération se
fait à l’aveuglette et chacun d’entre vous aura des résultats
différents, et ce, sans même les connaître !
Diminution progressive du nombre de piles utilisées
Par expérience, si l’on veut obtenir une concentration d’au moins 10
ppm, il faut procéder soit en diminuant progressivement l’intensité du
courant appliqué en retirant une pile à la fois, soit en utilisant un
mélangeur. En effet, lorsque les ions et colloïdes d’argent se détachent
des électrodes et commencent à effectuer le voyage entre les deux,
plus il y a de particules entre celles-ci, plus le courant passe
facilement et plus les particules se détachant des pièces d’argent sont
grosses. Il s’ensuit un “emballement” du processus qui aura tôt fait de
produire de trop grosses particules qui donneront une coloration ambre,
brune ou noire à la solution. Il faut donc être vigilant à cet égard et
faire plusieurs tests. Essai-erreur est ici la technique à utiliser. On
branche le tout, on minute, on vérifie la concentration, on rebranche,
on reminute, etc. Notez aussi que les résultats obtenus la veille ne
seront pas nécessairement ceux obtenus le lendemain ! Il fait 5 degrés
de plus ? Les électrodes sont de quelques millimètres plus près ou plus
loin les unes des autres ? Les piles ont perdu de leur intensité ? Tout
ceci joue sur le résultat final. Parfois cela me prend 20 minutes et
j’obtiens une solution à 14 ppm, alors que d’autres fois il m’en faudra
plus de 35 pour obtenir du 10 ppm. La rigueur est de mise et
l’expérience permet de bien jauger les temps sous tension et la méthode à
utiliser.
Lorsqu’on enlève les pièces d’argent, que ce soit pour prendre une
lecture au testeur ou autre, toujours bien les nettoyer avant de les
remettre dans l’eau, car il s’y forme une mince couche de résidu.
De plus, toujours s’assurer que les pinces “crocodile” ne touchent
pas à l’eau de la solution sans quoi elles feront aussi partie de
l’électrolyse et il y aura, en plus des colloïdes d’argent, des
colloïdes de pinces crocodile !
Une fois que la solution est prête, débrancher puis retirer les
électrodes doucement. Conserver dans un pot de verre (les pots en
plastique auront tendance à faire perdre la charge des ions d’argent)
clair dans un endroit sans lumière pour une période d’environ 12 heures.
Lorsque la solution sera stable (tous les ions se seront positionnés et
distancés également), vérifier qu’elle est encore claire. La coloration
jaunâtre peut apparaître dans les heures suivant la production. Une
fois assuré que la solution est “propre”, c’est-à-dire qu’elle demeure
limpide, il est conseillé de la mettre dans un pot de verre le plus
opaque possible et de la ranger dans un endroit sombre, car la lumière
du jour lui ferait perdre ses propriétés.
Du reste, c’est l’expérimentation qui vous guidera.Où se procurer les pièces et la documentation ?
Il est possible d’acheter du fil d’argent chez divers commerçants sur
le Net. Une simple recherche vous permettra d’en trouver plusieurs.
Pour ma part, j’ai opté pour l’achat de deux “lingots” d’argent .999 au
marchand de monnaie du coin. Cela pour deux raisons principales : cela
me donne la possibilité d’en acheter un peu n’importe où sans payer des
frais supplémentaires pour le transport; de plus, dans ce type de
commerce, l’argent est vendu au prix du marché et non avec un certain
profit en tête pour le marché restreint des “fabricants d’argent
colloïdal”, ce qui est donc moins dispendieux.
Quant au testeur de densité, adressez-vous aux vendeurs d’eau
distillée qui embouteillent eux-mêmes (et font parfois la livraison).
Ceux-ci vous recommanderont à leur fournisseur de matériel, car ce n’est
pas le genre d’appareil qui se vend n’importe où.
Piles, pinces crocodile et connecteurs se trouvent facilement dans
toute boutique d’électronique. Un voltmètre peut devenir utile afin de
vérifier l’état de piles de temps à autre et on le trouve au même
endroit. Concernant le mélangeur (si vous décidez
d’en utiliser un), pour ma part j’ai opté pour la fabrication
artisanale, car cela me permet de l’adapter à mes propres besoins. Un
peu de bricolage et à peine 3$ de matériel m’ont permis d’assembler un
petit moteur de train électrique sur un mini trépied. De cette façon,
l’eau tourbillonne constamment et retarde l’effet d’”emballement”.
Certaines personnes (qui se servent de contenants beaucoup plus gros)
utilisent un moteur d’aquarium. Libre à vous d’utiliser ce que bon vous
semble et qui sera adapté à vos besoins.
Pour ce qui est d’une bonne documentation sur l’argent colloïdal, je
vous conseille fortement l’ouvrage Une arme secrète contre la maladie :
l’argent colloïdal de Frank Goldman disponible dans la bibliothèque électronique sous “Santé – Médecine alternative”.Faire de l’argent dans ses temps libres, c’est payant !
Bien que ce soit un jeu de mots facile, “faire de l’argent” colloïdal
durant nos temps libres est réellement payant, et ce, de plus d’une
façon. Nous gagnons grandement en liberté face au cartel pharmaceutique,
tant financièrement qu’au niveau santé, car nous évitons ainsi les
effets nocifs de la majorité des médicaments. Nous nous réapproprions un
pouvoir de guérison efficace nous rendant ainsi autonomes face au
système de “santé” actuel, et ce, pour un grand nombre d’affections.
C’est donc au nom de l’autarcie médicale que je lève mon verre (d’AC) et que j’en prends une gorgée à votre santé ![1] et [2] : Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal, Frank Goldman, Éditions Le Lotus d’Or
Autre source: http://silicium.blogspirit.com/archive/2011/12/28/le-point-sur-l-argent-colloidal-ce-qu-il-faut-savoir.html
15.04.2012
Le point sur l'argent colloïdal (AC), les dernières nouvelles, ce qu'il faut savoir...
Mise à jour du 14 avril 2012
L'argent colloïdal et l'argent!
J'ai
ai eu deux preuves avec d'une part les prix astronomiques auquel ce
produit peut être vendu (jusqu'à 50 € le litre, comme pour le silicium
dit organique...) et d'autre part par les réactions d'un certain R.G.
(Tous les R.G. sont du reste un problème à tous égard, allez savoir
pourquoi...) qui a ouvert en 2009 un blog sur le sujet avec des à côtés
sur la monnaie, les thérapeutiques électromagnétiques etc...
Le point sur l'argent colloïdal (AC): le "Dossier" et la mailing-list
Que
l'on se rassure, le "Dossier" qui était en vente reparaîtra
prochainement. J'ai tous les éléments pour le terminer mais je n'ai pas
la disponibilité actuellement pour en faire la révision et le finaliser.
Cependant et en faisant l'effort de m'envoyer un mail, on peut
l'obtenir et être abonné à la mailing-list consacrée à l'AC étant
entendu que je me réserve la possibilité d'en filtrer les entrées et
donc de téléphoner aux candidat afin de connaôtre exactement leur
motivations. Disons qu'avec un contact direct je sais de suite avec qui
j'ai à faire tandis que les emails effacent tous signes subtils.
Je
détaillerai dans la version finale de ce dossier toutes les données
techniques sous une forme claire. Tout ce qu'on trouve sur internet ne
fait qu'entretenir des confusions, des invertitudes tout en faisant le
jeu des marchands qui exploite un ermède qu'on présente comme une quasi
panacée.
Description d'un générateur polyvalent
Plutôt
que de mettre à jour mon Dossier, je préfére décrire la composition du
générateur étant entendu qu'il ne faut pas être sorti de Saint Cyr pour
reproduire le schéma que j'évoque. Mais si on n'a pas des connaissances
basiques en électricité, mieux vaut le faire faire !
A partir d'un interrupteur général bipolaire 3 transfos sont alimentés :
- 1 transfo de 12 volts (en haut et à gauche) pour alimentater le circuit de commande du relais inverseur ou Timer (en dessous on voit le relais en bleu). A noter que la diode du Timer est déportée sur la phase avant pour matérialiser les cycles d'inversion.
- 1 transfo de 2 x 24 volts donnant 53 volts continus (2 x 18 volts est suffisant) sert à l'électrolyse.
- 1 transfo de 3 volts alimente le moteur d'agitation au travers d'un interrupteur et d'un circuit de stabilisation du voltage car hors charge le transfo délivre + de 5 volts. Le petit circuit acheté à Hong Kong permet de régler le voltage à 3 volts. le moteur étant récupéré sur un petit mixer à piles qui sert en cosmétique.
Le
courant d'électrolyse passe par une série de résistances qui permettent
de brider le débit à 1, 3 et 10 mA. Un contacteur à 4 positions permet
en outre une position non bridée (utile pour l'électrolyse des autres
métaux et en particulier le magnésium). Le courant passe d'abord par un
milliampéremètre avant d'être injecté dans un relais 2 RT. En effet, le
vumètre n'accepterait pas l'inversion de polarité. A noter que la
position de non bridage ne passe pas par le vumètre car il risquerait
d'être détraqué mécaniquement quand avec certains métaux on dépasse des
10 ou 20 mA du modèle choisi (Hong Kong).
Le
relais inverseur est commandé par le timer (un kit Velleman que tout le
monde connait et c'est pas une invention arménienne...) rélé de manière
à ce que l'alternance de polarité ait lieu toutes les 10 ou 15
secondes.
Un point faible
J'ai
eu des déboires avec 2 ou 3 moteurs. Les balais sont très fragiles. Il
est absolument nécessaire d'éviter qu'ils ne tournent trop vite, raison
pour laquelle j'ai du incorporer un régulateur de tension. Il est donc
préférable, si l'on veut éviter un ennui de se procurer un agitateur
magnétique et Hannah en propose à environ 115€ + le port.
L'utilisation
d'un agitateur permet de concevoir un bouchon de liège pouvant
s'adapter à des pots de plusieurs contenances différentes et l'on peut
planter des couples d'électrodes de métaux différents au lieu d'avoir 36
bocals d'électrolyse.
J'ai
fait des essais qui prouvent que l'agitation n'est pas nécessaire à
partir du moment où l'on opère dans des petits volumes (idéalement 300
ml). En outre l'agitation n'est pas susceptible de garantir l'absence
d'anicroches, j'y reviendrai à propos de l'eau.
La
liaison, dans le modèle avec moteur, se fait par un cable DIN à 5
broches qui interdit un mauvais branchement puisque ces prises ont un
"détrompeur".
Observations
Je
fabriquais de l'AC depuis environ 6 ans avec un appareil rudimentaire,
savoir un simple adaptateur de 12 volts continu sans inversion de
polarité. Voilà maintenant plusieurs mois que j'ai travaillé à diverses
observations et j'ai du faire pas loin de 60 litres d'AC en variant les
protocoles. Je procède en 2 temps (pour 1 litres) soit un cycle de 2
heures environ non bridé. J'obtiens une solution à environ 6 ppm que je
complète à concurrence de 10 ppm en réduisant le régime. L'aiguille
monte à 5/6 mA et je termine sur l'une ou l'autre des positions
inférieures en contrôlant la montée et j'obtiens 9 fois sur 10 une
solution limpide.
Je
garanti que sur le plan électrique, il est impossible de mieux faire en
terme de conception. J'ai pensé faire une alimentation régulée en mA
(courant constant). En théorie, on gagnerait le temps de la montée du
débit jusqu'à la limite de bridage mais il ne s'agit pas de produire
industriellement et pour un usage familial, produire 1 litre à la fois
est largement suffisant ! L'appareil étant commandé par un
programmateur, on peut aisément maîtriser le processus.
Aléas
Il
arrive que certains jours, avec le même protocole on ait un trouble où
qu'après un repose de 24 heures la solution jaunisse. Chez moi la
température est constante grâce à un bain mari régulé à 25° dans une
caisse en plastique dont l'eau est chauffée avec un appareil pour
aquarium de haute qualité tandis que des briques procurent une certaine
inertie, mon "labo" (de fortune) étant très froid en hiver.
La
lune et la qualité de l'eau peuvent influer sur le processus. En ce qui
concerne l'eau, un expérimentateur qui achetait son eau stérile à Paris
avait des problèmes de jaunissement. Il s'est procure une autre eau
grâce à un collègue de la région du Mans et ses problèmes ont cessé.
Apparement et selon les laboratoires la qualité de l'eau peut changer.
Enfin c'est une supposition...
L'eau de départ
L'osmose + distillation avec les appareils familliaux genre Waterwise m'a occasionné des surprises et même une énigme insoluble d'où le conclusion qu'en raison du coût à tous égards la distillation n'est valide qu'avec un appareil professionnel coûteux et encombrant pourvu d'une colonne non métallique.Quid de la désionisation? J'ai répondu à toutes les questions que l'on peut se poser à cet égard en par une recherche et une expérimentation serrée après avoir consulté deux experts. Des conclusions claires et surtout définitives se trouveront dans le Dossier.
Les générateurs non professionnels du commerce
Soit
ils proposent un système d'arrêt automatique illusoire mais aucun ne
propose d'inverseur de polarité rythmique qu'ils soient européens ou
américains. Cette inversion ne se trouve que sur des appareils
professionnels très chers (7 à 800 $ au moins).
Et
surtout ces appareils sont conçus pour des très petits volumes et des
titrages très bas et si on n'a pas de conductimètre on ne sait pas ce
que l'on fait.
Essai avec le magnésium et le zinc
La
plupart des métaux ne se trouvent pas sous forme de tiges, les
possibilités sont donc limitées au cuivre, au magnésium, au nickel et au
zinc en particulier car l'or ne peut qu'être difficilement électrolysé
par la méthode LVDC (compter une semaine sans parler du coût des
électrodes...)
Mes
résultats ne recoupent pas ceux de Ghaloustians. Le zinc produit bien
des ions et PAS ou PEU de particules si bien que l'effet Tyndall est
quasiment nul. Or Ghaloustians a prétendu le contraire, à moins que
maniant mal le français, il n'ait voulu dire le contraire de ce qu'il a
écrit comme c'est arrivé lors de nos échanges par email.
Même
chose pour le magnésium à ceci près que si le zinc monte lentement,
avec le magnésium c'est un jeu d'enfant d'obtenir 50 ppm d'une parfaite
limpidité. L'agitation n'est nullement nécessaire et on peut laisser
l'électrolyse se faire sur la position non bridée sans se soucier de
contrôler au vumètre.
D'ici
un moins ou deux j'aurais sans doute des résultats avec d'autres métaux
: indium, germanium, manganèse, cobalt etc... car j'ai trouvé des
sources d'approvisionnement abordables.
La
seule difficulté à résoudre concerne les métaux qui ne se trouvent pas
sous forme de tige ou de lingot comme les 3 derniers cités. La solution
du sachet qui est utilisée dans les dynamiseurs de type Violet ou Olidyn
ne me convient pas. Il faut imaginer autre chose afin de ne pas risquer
d'électrolyser le fil conducteur plongeant dans le sachet.
Remarques sur le procédé Violet et l'Olidyn
J'ai
progressé de ce côté et je reviendrai sur ce sujet dans quelques temps.
Je suis arrivé à la conclusion en démontant un Bio Oscillateur
puissance 4 de Violet que le procédé utilisé actuellement n'a plus grand
chose à voir avec le montage du brevet de Marcel Violet qui comportait
un condensateur variable comme il y en avait sur les anciens postes de
TSF. En fait le circuit se rapproche de celui de l'Olidyn dans son
principe bien qu'il soit greffé sur un condensateur à cire d'abeille.
Mais
on peut se demander si ce condensateur est encore fait dans les règles.
Je note à ce propos que les données qui sont dans le domaine publiques
sont fausses pour au moins deux raisons. Quand on connait un peu les
travaux de Stanislas Bignand (et il n'y a pas grand chose sur le sujet
hormis un texte publié du temps de Ravatin...) si on sait lire on peut
deviner les contenu de ces deux détails. l'un tenant aux métaux utilisés
et l'autre au traitement de la cire pendant le coulage.... Je n'en
dirai pas plus non que j'ai l'intention de "vendre" mes informations
comme le fait Ghaloustians mais parce que je les réserve à des
particuliers qui s'efforce de m'apporter quelque chose en échange. Ca
peut être peu de chose, de la cire de leur rucher par exemple...
Les résultats thérapeutiques
Je n'ai pas de possibilités par moi-même de tester ces produits car je suis en bonne santé et à part des mycoses dont je me suis aisément débarrassé et une fistule dentaire solutionnée avec 24 heures de bains de bouche je ne dispose pas de "cobayes" dans mon entourage. Et j'ajoute que je me garde bien d'en chercher.
Comme
je vis dans une région très particulière où les gens sont très
hypocrites voire assez malveillants, je ne fais pas de publicité. Je me
borne à entretenir ma réputation d'extra terrestre car ça a
l'heureux avantage de décourager bien des importuns et j'ai appris qu'il
ne fallait surtout pas empêcher les gens, quand ils le désirent, de
s'empoisonner avec les saloperies criminelles de la pharmacie moderne
genre Mediator et Cie. Au contraire, ça a l'heureux avantage de
participer d'une certaine "sélection naturelle"...
Les
résultats thérapeutiques sont au rendez-vous. J'ai dans ma liste deux
radiesthésistes dont l'un est un éleveur qui s'est débarassé des
séquelles d'un accident de tracteur en 24/48 heures avec colite due à un
bombardement antibiotique, des plaies qui ne cicatrisaient pas, des
urines foncées et sanguinolentes et enfin une hémorragie intestinale due
manifestement au traumatisme.
La solution de ces problèmes a révélé des facultés de cicatrisation auxquelles on ne s'attendait pas.
Depuis la dernière publication de cette note j'ai enregistré d'autres résultats :
- Suppression des démangeais du cuir chevelu chez 2 utilisateurs.
- Amélioration dans des démangeaisons vaginales du à une invasion de Candida Albicans mais dans un cas de ce genre l'AC n'est sans doute pas la solution la plus économique. Il faut penser aux tampons trempés dans une solution de bicarbonate de soude !
Résultat sur des sinusites avec un pulvérisateur.
- Enfin un expérimentateur belge qui dispose d'un appareil fabriqué selon le schéma décrit ci-dessus est ravi : il souffrait chaque hiver de bronchites récurrentes et a passé une saison clean grâce à des pulvérisations et des prises orales. Dans ce cas de figure il fuat penser aux appareils d'aérosol. Pas besoin d'un modèle sonique et on en trouve à des prix abordables.
Avec le magnésium
Avec
le magnésium, l'éleveur accidenté a pu se débarrasser de crampes ausi
rapidement avec la prise de 50 ml de magnésium ionique/jour.
J'ai
fourni à mon ostéopathe plusieurs flacon qu'il a réservé à patient Il
en est résulté une forte spasmophilie et il ne pouvait avaler aucun
médicament. Son état s'est nettement amélioré et est devenu supportable
avec 3 cuillères à café/jour. Je lui en ai fourni gracieusement 3 litres
en lui disant d'augmenter la dose et on va voir.
Le
cas échéant je lui ferai don d'un appareil rudimentaire car il doit
repartir. Avec le silicium un générateur sophistiqué n'est pas
nécessaire.
Le problème des oligo-éléments
Les
indications dont on dispose sont très limitées et elles se bornent à la
matière médicale issue des travaux de Ménétrier or dans le cas de
l'éleveur il a fallu 5 cuillères à soupe d'AC toutes les 3 heures
pendant 24 heures pour obtenir le résultat indiqué. Qui aurait osé de
sang froid s'administrer une telle dose avec cette peur panique de l'argyrie qui est soigneusement cultivée sans doute à l'initiative des trusts pharmaceutiques. Encore qu'ils y a tellement d'idiots utiles en ce monde qu'on n'a même pas besoin de les payer pour contribuer à fabriquer des psychoses !
Cela
signifie que seuls les radiesthésistes chevronnés peuvent explorer les
possibilités d'un remède comme l'AC. N'étant pas radiesthésiste par
excès de cartésianisme je ne suis pas en mesure de donner des conseils
thérapeutiques.
"Dossier argent colloïdal"
Je
n'ai pas trouvé le temps de mettre à jour le texte et je me demande si
cela en vaut la peine car sur la vingtaine de lecteurs que j'ai touché,
je compte sur les doigts d'une main ceux qui ont tenté la confection
d'un générateur. Pour moi c'est enfantin mais apparemment l'immense
majorité des gens qui s'intéressent à l'AC n'ont pas les connaissances
basiques nécessaire. A propos du schéma de principé évoqué, il va de soi
que chaque transfo doit être assorti d'un redressement sous la forme
d'un pont de diodes...
Se procurer de l'argent colloïdal
Quand
je vois le prix de l'AC, je trouve que c'est toujours trop cher! J'en
ai donné des litres et des litres en échange des seuls frais de port. Je
le donne dans certaines conditions et notamment en cas d'échanges,
d'informations par exemple ou si une personne n'a pas d'argent mais
c'est à la condition d'avoir un minium d'information sur ce qu'elle
compte en faire, ce qui suppose de me fournir un n° de téléphone. Bien
évidemment, je veille à éviter "toute perte de chance" et je m'assure
que l'on puisse contrôler le résultats par des moyens objectifs
(analyses biologiques par exemple, ce qui suppose le concours d'un
médecin...)
C'est peut-être encore trop demander et je constate que l'on ne se bouscule pas au portillon...
Le livre de Jeanne Perros sur l'argent colloïdal
Comme
je l'avais prévu il est décevant. L'auteur ne distingue pas les
expérimentations in vitro des exprimentations in vivo qui sont rares et
les premières ne sont pas obligatoirement transposables. L'auteur
s'illusionne quand aux futurs succès de l'AC en pensant qu'il va pouvoir
résoudre le problème des résistances au antibiotiques. Il faudriat pour
cela que les médecins aient envie de changer leur habitudes or pour
cela il faudriat une incitation extérieure qui ne peut venir que des
albos qui n'ont aucun intérêt à promouvoir un procédé non brevetable.
Donc c'est plié.
Ce
livre est bvard et pourrait être amputé des deux tiers. La préface
d'une doctoresse inconnue répète mot à mot les dires de l'auteur
quelques pages plus loin. C'est du délayage. L'auteur ne dit pas de
bêtise mais ce livre est excessivement pauvre. Il ne s'est même pas
donné la peine d'évaluer les témoignages rapportés par Goldmann et entre
le pseudo de l'homme doré et l'argent comme remède en or on est dans la symbolique commerciale de facilité.
Un
futur vétérinaire envisage de consacrer sa thèse à l'argent colloïdal.
L'éleveur que j'ai évoqué utilise le produit pour ses animaux (gale et
eczéma pour un chat), diarrhée infectieuse chez des agneaux...
8 commentaires:
http://fr.clark-zapper.com/generateur-argent-colloidal.html
L ’argent colloïdal est une substance :
- Prébiotique : rééquilibre la flore intestinale avec un ef fet positif
sur la santé et stimule la croissance des probiotiques (les utiles)
- Antiseptique et antibiotique : élimine plus de 650 espèces de
microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons
et mycoplasmes, dont certains en MOINS DE 6 MINUTES !
En comparaison avec l'antibiotique traditionnel, l'argent colloïdal
est plus ef ficace et bien mieux toléré puisqu'il est absorbé dans
la partie supérieure de l'intestin, en évitant ainsi d'altérer la flore
bactérienne située dans la partie inférieure de l'intestin.
Dosage 1 pipette contient 5 ml ou 1 càc
5 ml de colloïde d’argent à 10 ppm fournit environ 50 mcg d’argent
-> dosage “nutrititif” adéquat, si consommé journellement.
T oute quantite superieure à 10 ml par jour ou 100 mcg
-> dosage “therapeutique ". Si periode prolongée, rester
dans les limites considerees purement nutritionnelles.
Si doses superieures, être prudent,
et seulement pour 1 ou 2 jours de suite.
Du fait que le foie élimine l'argent en environ 2 h,
il faut en prendre toutes les heures ou toutes les 2 h
pour maintenir une dose thérapeutique .
? une càc / h est à la fois sans danger et sage en cas d'infection.
T raitement Anti-Parasitai re :
Adulte : 1 à 3 pipettes (càc), 3 à 4 fois / jour ,
traitement de 1 à 3 mois
en entretien, 1 pipette (càc) matin et soir
Enfant : 1/2 dose adulte Bébé : 1 quart de la dose adulte
• tourner dans la bouche 30 sec avant d’avaler - absorption
dans l’organisme sans passage par la voie intestinale.
• petites doses, plusieurs fois par jour , ou avec les repas.
Dose orale de référence - exposition limite quotidienne (70 ans).
fixée à 5 mcg (Microgramme ) par kilo corporel et par jour ,
350 mcg pour un adulte de 70 kg -> ingestion quotidienne de 35 ml,
-> 7 c à café, à 10 ppm.
- La dose critique est la quantité journalière à ne pas dépasser :
15 mcg/kg, soit 1,05 mg pour en adulte de 70 kg, -> 105 ml
-> 7 c à soupe, à 10 ppm
Usage interne - 2 c à c (à 10 ppm) - suffisant pour l’entretien.
Merci zoky fa tena tsara le article;
Efa novakiako ilay boky PDF ; tena tsara io sady afaka ampiharina.
Efa novakiako ilay boky PDF ; tena tsara io sady afaka ampiharina.
Bonsoir,
Mba mangataka ny fomba hi-contacter-na anao azafady tompoko.
RABARISALAMA Tanindrazana
e-mail : rtanindrazana@yahoo.com
Misaotra indrindra.
Bonjour, comment vous contacter svp (sans publier mon adresse email ou mon téléphone ici ..) ? J'aimerais vous parler de l'argent colloïdal. C'est assez urgent svp (pour un animal malade). Merci d'avance
Bonjour et merci votre article est complet et bien explicite, Bravo pour ce partage de connaissance, je m'intéresse depuis peu a l'AC, ma philosophie rejoint la votre. Je vais essayé de faire ma machine moi même malgré mes lacunes en électronique .
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