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ARGENT COLLOIDAL

L’argent colloïdal : ce que le cartel pharmaceutique vous cache

Il était une fois… une histoire qui ne répondait pas au vieil adage, pourtant éprouvé, qu’est “Si ça semble trop beau pour être vrai, c’est que ça l’est”.

Cette histoire, c’est celle de l’argent colloïdal. Bactéricide hors pair, germicide par excellence, antibiotique naturel, l’argent colloïdal est source de plusieurs guérisons “miraculeuses” que les sceptiques ne sont pas prêts d’accepter. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. Se guérir d’une hépatite, d’un cancer, d’une vilaine grippe ou d’une affection de la peau ? La réponse se trouve sous le couvercle d’une petite bouteille opaque dont la solution aqueuse renferme des ions d’argent et d’infimes particules d’argent dites colloïdales, c’est-à-dire en suspension. L’argent colloïdal élimine plus de 650 espèces de microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons et mycoplasmes, dont certains en quelques minutes seulement. Le tout sans aucun effet secondaire nocif connu ? Allons donc ! Ce serait trop beau pour être vrai.
Je vous avais averti.
Et ce n’est pas tout.
La préparation de cette substance ne requiert ni laboratoire, ni connaissances poussées en chimie ou en pharmacologie. Le tout peut être préparé avec des instruments et une technique dont la simplicité est déconcertante. Pas étonnant que le cartel pharmaceutique en interdise la vente dans plusieurs pays et qu’aucune recherche “officielle” n’ait été financée par ledit groupe. Il est de loin préférable pour leurs profits que cette information soit le plus méconnue possible. Alors à nous de jouer.
L’utilisation de l’argent pour traiter maladies, brûlures, blessures et autres joies de la vie corporelle n’est pas récente. L’argent colloïdal n’est pas un nouveau traitement ou une découverte récente, c’est plutôt un “remède de grand-mère”, moyennant que cette grand-mère ait vécu à une époque très lointaine . Depuis la plus haute antiquité, et peut-être même avant, l’argent était déjà connu pour ses propriétés germicide et bactéricide. Voici ce qu’en dit Frank Goldman dans son livre Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal :

Il était employé dans des ustensiles destinés aux enfants afin de les protéger contre des maladies dont l’origine n’était pas connue à ces époques. L’expression “Être né avec une cuillère d’argent dans la bouche” vient de ce phénomène, son utilisation récente comme indication de richesse n’est qu’une conséquence. Les Vénitiens transportaient eau, vin et vinaigre dans des réservoirs en argent pour les conserver ; lors de la conquête de l’ouest américain, les pionniers protégeaient leur réserve d’eau, de lait et d’aliments en plaçant des pièces de monnaie en argent dans leurs outres, barriques ou récipients pour en préserver la fraîcheur. Alexandre Le Grand (356-323 av. J.C) transportait son eau dans des récipients argentés. La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient leurs boissons dans des coupes en argent.
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L’utilisation médicale de l’argent a une longue tradition, les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l’apogée de la phytothérapie du temps d’Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus de 230 plantes médicinales dans son ouvrage “Corpus Hippocraticum”, science à laquelle il avait été initié par son père, Héraclide. Il la développa et l’exerça en tant que médecin itinérant au cours de ses voyages en Asie Mineure et en Grèce et, à cette époque, il enseigna à ses disciples que la fleur d’argent (poudre extra-fine) cicatrisait les blessures ulcérées.

De nombreux médecins, alchimistes, comme Pline (78 après J.C), Gerber (702-765), Avicenne (980-1037, Paracelse (1493-1541) conseillaient l’usage médical de l’argent.

Au Moyen Âge, les médecins arabes employaient l’argent dans le traitement des palpitations et des rétentions hydriques. Pour les alchimistes, l’argent correspondait à la lune (macrocosme) et à la tête (microcosme), il fut donc administré aux fous et aux épileptiques. C’est au XVIIIe siècle que le nitrate d’argent devint une thérapeutique de choix pour le traitement des plaies, des ulcères et de la plupart des affections de la peau.
On comptait plus de 60 préparations à base d’argent dans la pharmacopée du XIXe siècle.
En 1869 le scientifique Ravelin indiquait que l’argent à doses infimes déployait des effets antimicrobiens.
En 1881 le gynécologue de Leipzig, Carl Sigmund Franz Crède (1819-1882), recommandait de prévenir l’inflammation de l’œil du nouveau-né par le traitement d’une solution à 1 % de nitrate d’argent. Les résultats étaient tellement impressionnants qu’on a ordonné ce traitement, nommé “Prophylaxie Crède”, pour les nouveaux-nés ! Avec l’instauration de cette pratique, le taux d’ophtalmie des nouveau-nés tomba rapidement de 10 % à 0,2 %. En conséquence, cette pratique devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens.

En 1893, le botaniste suisse Von Nägeli (1871-1938) découvrait que la concentration de seulement 0.000 000 1 % des ions argentés suffisent pour tuer le germe spirogyre (une algue verte d’eau douce, se présentant sous la forme de filaments) qui se trouve dans l’eau fraîche.
Les propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal furent énoncées au début du XXe siècle.
Les Chinois utilisent l’acupuncture depuis environ 7 000 ans. Ils ont rapidement découvert l’effet antimicrobien des aiguilles en argent. On peut penser que des milliers d’acupuncteurs de par le monde utilisent aujourd’hui des aiguilles argentées pour l’acupuncture.
L’argent est toujours utilisé dans la médecine traditionnelle indienne (ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques, inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et ménorragies.
En 1928, Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans des systèmes de filtration pour l’eau domestique. Actuellement, plus que la moitié des lignes aériennes mondiales emploient l’argent pour traiter l’eau des avions destinée aux usagers. Les Américains et les Russes ont choisi un système de traitement de l’eau à base d’argent pour leurs navettes spatiales.
Aux É.-U., des villes ont choisi l’argent pour traiter les eaux usées, dans certains hôpitaux l’installation de système d’ionisation argent/cuivre ont permis d’éradiquer la Legionella Pneumophila de leurs réseaux d’eau chaude.
Bien qu’il soit encore utilisé, l’argent colloïdal a disparu des cabinets des médecins lors de l’arrivée des antibiotiques vers la fin des années 30. Il était pourtant considéré comme étant le “nec plus ultra” des traitements pour un nombre impressionnant d’affections, mais cartel pharmaceutique et propension au profit obligent, l’argent colloïdal est rapidement tombé dans l’oubli.

La magie de L’argent colloïdal

L’argent colloïdal en usage externe peut être utilisé pour accélérer la cicatrisation des brûlures et de diverses blessures ou encore pour soigner une panoplie d’affections de la peau, des yeux, des oreilles, etc. Il est communément bu afin de combattre efficacement et rapidement toute infection virale ou bactérienne. Même que plusieurs personnes (moi inclus) en prennent quotidiennement de façon préventive et/ou en tant que complément alimentaire. Il peut aussi être vaporisé dans les voies respiratoires à l’aide d’un nébuliseur ou même utilisé en intraveineuse dans les cas plus graves. Bref, à la sauce du jour, selon vos maux. Traiter ces types de pathologie est une chose, mais qu’en est-il des maladies plus graves telles que les cancers ?
L’argent colloïdal a plus d’un tour dans son sac. Il ne lui suffisait pas d’être un antibiotique, un germicide et un bactéricide hors du commun, il lui fallait plus. Et plus, il est. Le Dr Becker, auteur de The electric body (1985), a étudié le mécanisme par lequel les ions d’argent régénèrent les tissus et voici une des conclusions à laquelle il est arrivé :
Les ions d’argent forment un complexe avec les cellules vivantes autour de la blessure pour produire des cellules-souches immédiatement convertibles. Le résultat net de cette conversion est que les cellules-souches fournissent toutes les composantes nécessaires à la restauration complète de toute structure atomique.[2]
Nous parlons donc ici de régénération des tissus, rien de moins ! Un délire de science-fiction ? Un leurre ? Je vous entends presque dire : “Si c’est trop beau pour être vrai…”. Mais lorsque nous saisissons la mécanique de profit du monde dans lequel nous vivons, nous comprenons rapidement qu’une telle panacée n’est aucunement rentable. En effet, si tous les “gens du peuple” arrivent à se guérir de la majorité des affections qu’ils subissent, le cartel pharmacomédical en prendrait pour son rhume . Et c’est exactement la raison pour laquelle aucune étude sérieuse (officielle) des bienfaits de l’argent colloïdal n’a été entreprise par l’establishment médical. Beaucoup d’informations sur le sujet sont tout de même disponibles et l’AC peut se faire à l’aide d’une simple électrolyse.

Voici une liste non exhaustive (recueillie sur le Net ) de pathologies pour lesquelles l’argent colloïdal s’est avéré efficace :
Abcès, Acné, Allergies, Amygdales, Angines, Aphtes, Arthrite, Asthme, Blessures, Plaies, Bronchite, Brûlures, Coups de soleil, Cancer, Candida albicans, Cellulite, Colite, Conjonctivite, Maladie de Crohn, Soins du cuir chevelu, Dents (carries), Diarrhée, Eczéma, Fatigue chronique, Infection de l’estomac, Fibromyalgie, Gale, Hépatite C, Herpès, Hidrosadénite, Ulcères d’estomac, Diabète, Choléra, Malaria, Peste bubonique et Lèpre, HIV/Sida, Infections des poumons, Infections cutanées, Problèmes de foie, Yeux, Oreilles, Reins, Vessie, Voies urinaires, Intoxication alimentaire, Kystes, Levures, Maladie de Lyme, Moisissures, Mycoses, Pancréatite, Pellicules, Mauvaise haleine, Pneumonie, Rhumes et Grippes, Saignements, Sclérose en plaques, Sinusite, Stérilité, Teigne, Varicelle, Verrues, Zona…
D’autres exemples de pathologies sont présents dans le livre de Frank Goldman.

Effets secondaires et argyrose

J’ai mentionné en début d’article qu’il n’y avait aucun effet secondaire à l’utilisation de l’agent colloïdal. C’est vrai et c’est faux à la fois. C’est vrai dans la mesure où il n’y a aucun effet secondaire négatif, c’est-à-dire dommageable pour la santé. Mais c’est faux en ce qui concerne certains symptômes.

“L’effet Jarisch-Herxheimer” ou ce que l’on nomme une “crise de guérison” sera le principal effet secondaire de quiconque se soigne d’une grave affection (idem pour les utilisateurs des générateurs de fréquences “Rife”). L’élimination rapide d’un très grand nombre d’agents pathogènes provoque une réaction corporelle tout à fait naturelle en procédant au rejet des corps inertes par les voies naturelles. En somme, les symptômes d’une ” crise de guérison ” se traduisent par plus ou moins ceux d’un rhume ou d’une grippe : mal de gorge, mal de tête, écoulement nasal, etc. Cette condition n’est que passagère et peut être tempérée par l’arrêt ou la diminution des doses ingérées.
L’argyrose, quant à elle, est une coloration grise ou brunâtre de la peau ou des muqueuses, due à une intoxication par des sels d’argent. Bien que l’argyrose ne soit pas une condition esthétiquement souhaitable, elle n’est en rien dangereuse pour la santé. Et bien qu’elle soit liée directement à l’argent, elle n’est en rien créée par l’ingestion ou l’utilisation en surface des colloïdes d’argent. En effet, les colloïdes sont des particules extrêmement petites et ont, de ce fait, la particularité de ne pas s’accumuler dans le corps comme le ferait l’ingestion de particules plus grosses tels les sels d’argent. Bien que CNN ait mené une propagande de peur relativement à l’argent colloïdal, l’argyrose ne concerne pas les consommateurs d’argent colloïdal outre s’ils consomment des produits de mauvaise qualité dans lesquels on retrouve une quantité trop importante de sels d’argent. Raison pour laquelle il est important de savoir exactement ce que l’on ingurgite.

La fabrication d’argent colloïdal

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Pourquoi créer soi-même son argent colloïdal ? Principalement pour deux raisons : l’autonomie et le contrôle de la qualité. Il y aurait aussi lieu de mentionner la question des coûts puisqu’il existe sur le marché de nombreuses solutions d’AC (dont les prix et la qualité varient grandement) ainsi que toute une panoplie de générateurs d’AC se détaillant à plusieurs centaines de dollars, alors que le coût des matériaux de base pour la fabrication maison est moindre. Certes, il est plus demandant en temps et en énergie de le faire soi-même, mais je crois que je jeu en vaut la chandelle.
Quoique la fabrication de l’AC soit d’une simplicité déconcertante, il est important d’en bien comprendre le principe. Une solution d’argent colloïdal pure et bien réussie sera claire et transparente. Cela est important, car lorsque nous glanons les informations sur le Net, nous nous heurtons à des versions biens différentes. Certains prétendent qu’une solution jaune pâle ou d’un blanc brumeux est le signe d’un bon résultat, d’autres prétendent qu’il est possible de faire de l’AC avec l’eau du robinet ou de l’eau de source. Tout ceci est faux. L’utilisation d’une eau contenant des minéraux donnera invariablement une solution dans laquelle nous retrouverons des sels d’argent, principe de l’électrolyse oblige. Il est donc impératif de faire son argent colloïdal avec de l’eau distillée ou déminéralisée. Qui plus est, une coloration blanchâtre indique la présence de sels et une forte coloration jaunâtre indique que les particules sont trop grosses. Certaines préparations d’AC prendront différentes teintes : rougeâtre, brunâtre, bleuâtre, etc. Toutes ces couleurs indiquent que les particules d’argent en suspension (les colloïdes) ne sont pas assez petites et que la solution est donc de piètre qualité. Certes, ce sera tout de même une solution d’argent colloïdal, mais il n’est pas conseillé de l’utiliser de la sorte. En cas de survie, sans médicaments disponibles, faire de l’AC à la va-comme-je-te-pousse demeure tout de même une excellente façon d’éradiquer les pathogènes nous affectant. Mais dans le confort matériel de nos vies présentes, un peu de temps, de patience et de lecture permettent la création d’un produit “propre”.

NOTE : La coloration jaunâtre est sujette à maints débats. Pour ma part, après vérification, j’en conclus qu’il est acceptable qu’une solution ait une légère (très légère) coloration jaunâtre si elle est claire. La raison étant que la grosseur des particules dans ce cas demeure acceptable (entre 1 et 10 nanomètres), mais ce n’est que ma conclusion personnelle et aussi je recommande fortement que la solution finale soit claire et limpide.
Le matériel de base consiste en 4 piles 9 volts, deux tiges (ou tout autres pièces) d’argent pur .999 ou .9999, de l’eau distillée ou déminéralisée, deux pinces “crocodile” et un testeur de densité.
De plus, un voltmètre, une minuterie, deux connecteurs pour piles 9 volts ainsi qu’un mélangeur permettront de parfaire l’art de la création d’AC, mais ne sont pas requis.




Le principe en soi est simple : c’est de l’électrolyse. Les deux pièces d’argent servent d’électrodes, les pinces crocodile sont connectées aux piles (qui sont emboîtées en série) ainsi qu’aux pièces d’argent qui baignent dans de l’eau distillée ou déminéralisée.

Le temps que les pièces d’argent doivent demeurer sous tension dépend de la concentration d’argent colloïdal que nous désirons obtenir. Cette concentration, calculée en ppm (particules par million), dépendra à son tour d’un grand nombre de facteurs. En effet, une électrolyse de la sorte est une électrolyse de précision et le moindre facteur, tel que la température de l’eau et de l’air ambiant, la phase de la lune, le champ magnétique terrestre, la pression atmosphérique, etc., jouera un rôle dans le processus. Tout ceci sans compter d’autres paramètres évidents tels que la distance entre les électrodes, la qualité de l’eau de départ, la surface d’argent accessible, etc. Pour ces raisons, il n’y a pas de “recette miracle” qui garanti une concentration particulière avec des paramètres donnés et fixes. Ne vous fiez pas trop à ce qu’on en dit sur le Net car plusieurs personnes donneront des indications précises en avançant que vous obtiendrez une concentration de X ppm. Ne prenez ces indications que comme un guide de départ car sans testeur de densité, l’opération se fait à l’aveuglette et chacun d’entre vous aura des résultats différents, et ce, sans même les connaître !
argent-colloidal-pilesDiminution progressive du nombre de piles utilisées
Par expérience, si l’on veut obtenir une concentration d’au moins 10 ppm, il faut procéder soit en diminuant progressivement l’intensité du courant appliqué en retirant une pile à la fois, soit en utilisant un mélangeur. En effet, lorsque les ions et colloïdes d’argent se détachent des électrodes et commencent à effectuer le voyage entre les deux,  plus il y a de particules entre celles-ci, plus le courant passe facilement et plus les particules se détachant des pièces d’argent sont grosses. Il s’ensuit un “emballement” du processus qui aura tôt fait de produire de trop grosses particules qui donneront une coloration ambre, brune ou noire à la solution. Il faut donc être vigilant à cet égard et faire plusieurs tests. Essai-erreur est ici la technique à utiliser. On branche le tout, on minute, on vérifie la concentration, on rebranche, on reminute, etc. Notez aussi que les résultats obtenus la veille ne seront pas nécessairement ceux obtenus le lendemain ! Il fait 5 degrés de plus ? Les électrodes sont de quelques millimètres plus près ou plus loin les unes des autres ? Les piles ont perdu de leur intensité ? Tout ceci joue sur le résultat final. Parfois cela me prend 20 minutes et j’obtiens une solution à 14 ppm, alors que d’autres fois il m’en faudra plus de 35 pour obtenir du 10 ppm. La rigueur est de mise et l’expérience permet de bien jauger les temps sous tension et la méthode à utiliser.

Lorsqu’on enlève les pièces d’argent, que ce soit pour prendre une lecture au testeur ou autre, toujours bien les nettoyer avant de les remettre dans l’eau, car il s’y forme une mince couche de résidu.
De plus, toujours s’assurer que les pinces “crocodile” ne touchent pas à l’eau de la solution sans quoi elles feront aussi partie de l’électrolyse et il y aura, en plus des colloïdes d’argent, des colloïdes de pinces crocodile !
Une fois que la solution est prête, débrancher puis retirer les électrodes doucement. Conserver dans un pot de verre (les pots en plastique auront tendance à faire perdre la charge des ions d’argent) clair dans un endroit sans lumière pour une période d’environ 12 heures. Lorsque la solution sera stable (tous les ions se seront positionnés et distancés également), vérifier qu’elle est encore claire. La coloration jaunâtre peut apparaître dans les heures suivant la production. Une fois assuré que la solution est “propre”, c’est-à-dire qu’elle demeure limpide, il est conseillé de la mettre dans un pot de verre le plus opaque possible et de la ranger dans un endroit sombre, car la lumière du jour lui ferait perdre ses propriétés.
Du reste, c’est l’expérimentation qui vous guidera.

Où se procurer les pièces et la documentation ?

Il est possible d’acheter du fil d’argent chez divers commerçants sur le Net. Une simple recherche vous permettra d’en trouver plusieurs. Pour ma part, j’ai opté pour l’achat de deux “lingots” d’argent .999 au marchand de monnaie du coin. Cela pour deux raisons principales : cela me donne la possibilité d’en acheter un peu n’importe où sans payer des frais supplémentaires pour le transport; de plus, dans ce type de commerce, l’argent est vendu au prix du marché et non avec un certain profit en tête pour le marché restreint des “fabricants d’argent colloïdal”, ce qui est donc moins dispendieux.
Quant au testeur de densité, adressez-vous aux vendeurs d’eau distillée qui embouteillent eux-mêmes (et font parfois la livraison). Ceux-ci vous recommanderont à leur fournisseur de matériel, car ce n’est pas le genre d’appareil qui se vend n’importe où.
Piles, pinces crocodile et connecteurs se trouvent facilement dans toute boutique d’électronique. Un voltmètre peut devenir utile afin de vérifier l’état de piles de temps à autre et on le trouve au même endroit. Concernant le mélangeur (si vous décidez d’en utiliser un), pour ma part j’ai opté pour la fabrication artisanale, car cela me permet de l’adapter à mes propres besoins. Un peu de bricolage et à peine 3$ de matériel m’ont permis d’assembler un petit moteur de train électrique sur un mini trépied. De cette façon, l’eau tourbillonne constamment et retarde l’effet d’”emballement”. Certaines personnes (qui se servent de contenants beaucoup plus gros) utilisent un moteur d’aquarium. Libre à vous d’utiliser ce que bon vous semble et qui sera adapté à vos besoins.
Pour ce qui est d’une bonne documentation sur l’argent colloïdal, je vous conseille fortement l’ouvrage Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal de Frank Goldman disponible dans la bibliothèque électronique sous “Santé – Médecine alternative”.

Faire de l’argent dans ses temps libres, c’est payant !

Bien que ce soit un jeu de mots facile, “faire de l’argent” colloïdal durant nos temps libres est réellement payant, et ce, de plus d’une façon. Nous gagnons grandement en liberté face au cartel pharmaceutique, tant financièrement qu’au niveau santé, car nous évitons ainsi les effets nocifs de la majorité des médicaments. Nous nous réapproprions un pouvoir de guérison efficace nous rendant ainsi autonomes face au système de “santé” actuel, et ce, pour un grand nombre d’affections.
C’est donc au nom de l’autarcie médicale que je lève mon verre (d’AC) et que j’en prends une gorgée à votre santé !
[1] et [2] : Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal, Frank Goldman, Éditions Le Lotus d’Or

Autre source: http://silicium.blogspirit.com/archive/2011/12/28/le-point-sur-l-argent-colloidal-ce-qu-il-faut-savoir.html

15.04.2012

Le point sur l'argent colloïdal (AC), les dernières nouvelles, ce qu'il faut savoir...

Mise à jour du 14 avril 2012

L'argent colloïdal et l'argent!
J'ai ai eu deux preuves avec d'une part les prix astronomiques auquel ce produit peut être vendu (jusqu'à 50 € le litre, comme pour le silicium dit organique...) et d'autre part par les réactions d'un certain R.G. (Tous les R.G. sont du reste un problème à tous égard, allez savoir pourquoi...) qui a ouvert en 2009 un blog sur le sujet avec des à côtés sur la monnaie, les thérapeutiques électromagnétiques etc...

Le point sur l'argent colloïdal (AC): le "Dossier" et la mailing-list

Que l'on se rassure, le "Dossier" qui était en vente reparaîtra prochainement. J'ai tous les éléments pour le terminer mais je n'ai pas la disponibilité actuellement pour en faire la révision et le finaliser. Cependant et en faisant l'effort de m'envoyer un mail, on peut l'obtenir et être abonné à la mailing-list consacrée à l'AC étant entendu que je me réserve la possibilité d'en filtrer les entrées et donc de téléphoner aux candidat afin de connaôtre exactement leur motivations. Disons qu'avec un contact direct je sais de suite avec qui j'ai à faire tandis que les emails effacent tous signes subtils.
Je détaillerai dans la version finale de ce dossier toutes les données techniques sous une forme claire. Tout ce qu'on trouve sur internet ne fait qu'entretenir des confusions, des invertitudes tout en faisant le jeu des marchands qui exploite un ermède qu'on présente comme une quasi panacée.

Description d'un générateur polyvalent

DSC00855_2012-04-14-23-03-31-875.JPGGenerateur.jpg










Plutôt que de mettre à jour mon Dossier, je préfére décrire la composition du générateur étant entendu qu'il ne faut pas être sorti de Saint Cyr pour reproduire le schéma que j'évoque. Mais si on n'a pas des connaissances basiques en électricité, mieux vaut le faire faire !
A partir d'un interrupteur général bipolaire 3 transfos sont alimentés :
  • 1 transfo de 12 volts (en haut et à gauche) pour alimentater le circuit de commande du relais inverseur ou Timer (en dessous on voit le relais en bleu). A noter que la diode du Timer est déportée sur la phase avant pour matérialiser les cycles d'inversion.
  • 1 transfo de 2 x 24 volts donnant 53 volts continus (2 x 18 volts est suffisant) sert à l'électrolyse.
  • 1 transfo de 3 volts alimente le moteur d'agitation au travers d'un interrupteur et d'un circuit de stabilisation du voltage car hors charge le transfo délivre + de 5 volts. Le petit circuit acheté à Hong Kong permet de régler le voltage à 3 volts. le moteur étant récupéré sur un petit mixer à piles qui sert en cosmétique. 
Le courant d'électrolyse passe par une série de résistances qui permettent de brider le débit à 1, 3 et 10 mA. Un contacteur à 4 positions permet en outre une position non bridée (utile pour l'électrolyse des autres métaux et en particulier le magnésium). Le courant passe d'abord par un milliampéremètre avant d'être injecté dans un relais 2 RT. En effet, le vumètre n'accepterait pas l'inversion de polarité. A noter que la position de non bridage ne passe pas par le vumètre car il risquerait d'être détraqué mécaniquement quand avec certains métaux on dépasse des 10 ou 20 mA du modèle choisi (Hong Kong).
Le relais inverseur est commandé par le timer (un kit Velleman que tout le monde connait et c'est pas une invention arménienne...) rélé de manière à ce que l'alternance de polarité ait lieu toutes les 10 ou 15 secondes.

Un point faible
J'ai eu des déboires avec 2 ou 3 moteurs. Les balais sont très fragiles. Il est absolument nécessaire d'éviter qu'ils ne tournent trop vite, raison pour laquelle j'ai du incorporer un régulateur de tension. Il est donc préférable, si l'on veut éviter un ennui de se procurer un agitateur magnétique et Hannah en propose à environ 115€ + le port.
L'utilisation d'un agitateur permet de concevoir un bouchon de liège pouvant s'adapter à des pots de plusieurs contenances différentes et l'on peut planter des couples d'électrodes de métaux différents au lieu d'avoir 36 bocals d'électrolyse.
J'ai fait des essais qui prouvent que l'agitation n'est pas nécessaire à partir du moment où l'on opère dans des petits volumes (idéalement 300 ml). En outre l'agitation n'est pas susceptible de garantir l'absence d'anicroches, j'y reviendrai à propos de l'eau.
La liaison, dans le modèle avec moteur, se fait par un cable DIN à 5 broches qui interdit un mauvais branchement puisque ces prises ont un "détrompeur".

Observations
Je fabriquais de l'AC depuis environ 6 ans avec un appareil rudimentaire, savoir un simple adaptateur de 12 volts continu sans inversion de polarité. Voilà maintenant plusieurs mois que j'ai travaillé à diverses observations et j'ai du faire pas loin de 60 litres d'AC en variant les protocoles. Je procède en 2 temps (pour 1 litres) soit un cycle de 2 heures environ non bridé. J'obtiens une solution à environ 6 ppm que je complète à concurrence de 10 ppm en réduisant le régime. L'aiguille monte à 5/6 mA et je termine sur l'une ou l'autre des positions inférieures en contrôlant la montée et j'obtiens 9 fois sur 10 une solution limpide.
Je garanti que sur le plan électrique, il est impossible de mieux faire en terme de conception. J'ai pensé faire une alimentation régulée en mA (courant constant). En théorie, on gagnerait le temps de la montée du débit jusqu'à la limite de bridage mais il ne s'agit pas de produire industriellement et pour un usage familial, produire 1 litre à la fois est largement suffisant ! L'appareil étant commandé par un programmateur, on peut aisément maîtriser le processus. 

Aléas

Il arrive que certains jours, avec le même protocole on ait un trouble où qu'après un repose de 24 heures la solution jaunisse. Chez moi la température est constante grâce à un bain mari régulé à 25° dans une caisse en plastique dont l'eau est chauffée avec un appareil pour aquarium de haute qualité tandis que des briques procurent une certaine inertie, mon "labo" (de fortune) étant très froid en hiver.
La lune et la qualité de l'eau peuvent influer sur le processus. En ce qui concerne l'eau, un expérimentateur qui achetait son eau stérile à Paris avait des problèmes de jaunissement. Il s'est procure une autre eau grâce à un collègue de la région du Mans et ses problèmes ont cessé. Apparement et selon les laboratoires la qualité de l'eau peut changer. Enfin c'est une supposition...

L'eau de départ

L'osmose + distillation avec les appareils familliaux genre Waterwise m'a occasionné des surprises et même une énigme insoluble d'où le conclusion qu'en raison du coût à tous égards la distillation n'est valide qu'avec un appareil professionnel coûteux et encombrant pourvu d'une colonne non métallique.
Quid de la désionisation? J'ai répondu à toutes les questions que l'on peut se poser à cet égard en par une recherche et une expérimentation serrée après avoir consulté deux experts. Des conclusions claires et surtout définitives se trouveront dans le Dossier.

Les générateurs non professionnels du commerce

Soit ils proposent un système d'arrêt automatique illusoire mais aucun ne propose d'inverseur de polarité rythmique qu'ils soient européens ou américains.  Cette inversion ne se trouve que sur des appareils professionnels très chers (7 à 800 $ au moins). 
Et surtout ces appareils sont conçus pour des très petits volumes et des titrages très bas et si on n'a pas de conductimètre on ne sait pas ce que l'on fait.

Essai avec le magnésium et le zinc

La plupart des métaux ne se trouvent pas sous forme de tiges, les possibilités sont donc limitées au cuivre, au magnésium, au nickel et au zinc en particulier car l'or ne peut qu'être difficilement électrolysé par la méthode LVDC (compter une semaine sans parler du coût des électrodes...)
Mes résultats ne recoupent pas ceux de Ghaloustians. Le zinc produit bien des ions et PAS ou PEU de particules si bien que l'effet Tyndall est quasiment nul.  Or Ghaloustians a prétendu le contraire, à moins que maniant mal le français, il n'ait voulu dire le contraire de ce qu'il a écrit comme c'est arrivé lors de nos échanges par email.
Même chose pour le magnésium à ceci près que si le zinc monte lentement, avec le magnésium c'est un jeu d'enfant d'obtenir 50 ppm d'une parfaite limpidité. L'agitation n'est nullement nécessaire et on peut laisser l'électrolyse se faire sur la position non bridée sans se soucier de contrôler au vumètre.

D'ici un moins ou deux j'aurais sans doute des résultats avec d'autres métaux : indium, germanium, manganèse, cobalt etc... car j'ai trouvé des sources d'approvisionnement abordables.
La seule difficulté à résoudre concerne les métaux qui ne se trouvent pas sous forme de tige ou de lingot comme les 3 derniers cités. La solution du sachet qui est utilisée dans les dynamiseurs de type Violet ou Olidyn ne me convient pas. Il faut imaginer autre chose afin de ne pas risquer d'électrolyser le fil conducteur plongeant dans le sachet.
Remarques sur le procédé Violet et l'Olidyn

J'ai progressé de ce côté et je reviendrai sur ce sujet dans quelques temps. Je suis arrivé à la conclusion en démontant un Bio Oscillateur puissance 4 de Violet que le procédé utilisé actuellement n'a plus grand chose à voir avec le montage du brevet de Marcel Violet qui comportait un condensateur variable comme il y en avait sur les anciens postes de TSF. En fait le circuit se rapproche de celui de l'Olidyn dans son principe bien qu'il soit greffé sur un condensateur à cire d'abeille.
Mais on peut se demander si ce condensateur est encore fait dans les règles. Je note à ce propos que les données qui sont dans le domaine publiques sont fausses pour au moins deux raisons. Quand on connait un peu les travaux de Stanislas Bignand (et il n'y a pas grand chose sur le sujet hormis un texte publié du temps de Ravatin...) si on sait lire on peut deviner les contenu de ces deux détails. l'un tenant aux métaux utilisés et l'autre au traitement de la cire pendant le coulage.... Je n'en dirai pas plus non que j'ai l'intention de "vendre" mes informations comme le fait Ghaloustians mais parce que je les réserve à des particuliers qui s'efforce de m'apporter quelque chose en échange. Ca peut être peu de chose, de la cire de leur rucher par exemple... 

Les résultats thérapeutiques


magicien.pngJe n'ai pas de possibilités par moi-même de tester ces produits car je suis en bonne santé et à part des mycoses dont je me suis aisément débarrassé et une fistule dentaire solutionnée avec 24 heures de bains de bouche je ne dispose pas de "cobayes" dans mon entourage. Et j'ajoute que je me garde bien d'en chercher.
Comme je vis dans une région très particulière où les gens sont très hypocrites voire assez malveillants, je ne fais pas de publicité. Je me borne à entretenir ma réputation d'extra terrestre  car ça a l'heureux avantage de décourager bien des importuns et j'ai appris qu'il ne fallait surtout pas empêcher les gens, quand ils le désirent, de s'empoisonner avec les saloperies criminelles de la pharmacie moderne genre Mediator et Cie. Au contraire, ça a l'heureux avantage de participer d'une certaine "sélection naturelle"...
Les résultats thérapeutiques sont au rendez-vous. J'ai dans ma liste deux radiesthésistes dont l'un est un éleveur qui s'est débarassé des séquelles d'un accident de tracteur en 24/48 heures avec colite due à un bombardement antibiotique, des plaies qui ne cicatrisaient pas, des urines foncées et sanguinolentes et enfin une hémorragie intestinale due manifestement au traumatisme.
La solution de ces problèmes a révélé des facultés de cicatrisation auxquelles on ne s'attendait pas. 
Depuis la dernière publication de cette note j'ai enregistré d'autres résultats :
  • Suppression des démangeais du cuir chevelu chez 2 utilisateurs.
  • Amélioration dans des démangeaisons vaginales du à une invasion de Candida Albicans mais dans un cas de ce genre l'AC n'est sans doute pas la solution la plus économique. Il faut penser aux tampons trempés dans une solution de bicarbonate de soude !
Résultat sur des sinusites avec un pulvérisateur.
  • Enfin un expérimentateur belge qui dispose d'un appareil fabriqué selon le schéma décrit ci-dessus est ravi : il souffrait chaque hiver de bronchites récurrentes et a passé une saison clean grâce à des pulvérisations et des prises orales. Dans ce cas de figure il fuat penser aux appareils d'aérosol. Pas besoin d'un modèle sonique et on en trouve à des prix abordables.

Avec le magnésium

Avec le magnésium, l'éleveur accidenté a pu se débarrasser de crampes ausi rapidement avec la prise de 50 ml de magnésium ionique/jour.
J'ai fourni à mon ostéopathe plusieurs flacon qu'il a réservé à patient Il en est résulté une forte spasmophilie et il ne pouvait avaler aucun médicament. Son état s'est nettement amélioré et est devenu supportable avec 3 cuillères à café/jour. Je lui en ai fourni gracieusement 3 litres en lui disant d'augmenter la dose et on va voir.
Le cas échéant je lui ferai don d'un appareil rudimentaire car il doit repartir. Avec le silicium un générateur sophistiqué n'est pas nécessaire.

Le problème des oligo-éléments

Les indications dont on dispose sont très limitées et elles se bornent à la matière médicale issue des travaux de Ménétrier or dans le cas de l'éleveur il a fallu 5 cuillères à soupe d'AC toutes les 3 heures pendant 24 heures pour obtenir le résultat indiqué. Qui aurait osé de sang froid s'administrer une telle dose avec cette peur panique de l'argyrie qui est soigneusement cultivée sans doute à l'initiative des trusts pharmaceutiques. Encore qu'ils y a tellement d'idiots utiles en ce monde qu'on n'a même pas besoin de les payer pour contribuer à fabriquer des psychoses !
Cela signifie que seuls les radiesthésistes chevronnés peuvent explorer les possibilités d'un remède comme l'AC. N'étant pas radiesthésiste par excès de cartésianisme je ne suis pas en mesure de donner des conseils thérapeutiques.

"Dossier argent colloïdal"

Je n'ai pas trouvé le temps de mettre à jour le texte et je me demande si cela en vaut la peine car sur la vingtaine de lecteurs que j'ai touché, je compte sur les doigts d'une main ceux qui ont tenté la confection d'un générateur. Pour moi c'est enfantin mais apparemment l'immense majorité des gens qui s'intéressent à l'AC n'ont pas les connaissances basiques nécessaire. A propos du schéma de principé évoqué, il va de soi que chaque transfo doit être assorti d'un redressement sous la forme d'un pont de diodes...

Se procurer de l'argent colloïdal

Quand je vois le prix de l'AC, je trouve que c'est toujours trop cher! J'en ai donné des litres et des litres en échange des seuls frais de port. Je le donne dans certaines conditions et notamment en cas d'échanges, d'informations par exemple ou si une personne n'a pas d'argent mais c'est à la condition d'avoir un minium d'information sur ce qu'elle compte en faire, ce qui suppose de me fournir un n° de téléphone. Bien évidemment, je veille à éviter "toute perte de chance" et je m'assure que l'on puisse contrôler le résultats par des moyens objectifs (analyses biologiques par exemple, ce qui suppose le concours d'un médecin...)
C'est peut-être encore trop demander et je constate que l'on ne se bouscule pas au portillon...

Le livre de Jeanne Perros sur l'argent colloïdal

Perros.jpgComme je l'avais prévu il est décevant. L'auteur ne distingue pas les expérimentations in vitro des exprimentations in vivo qui sont rares et les premières ne sont pas obligatoirement transposables. L'auteur s'illusionne quand aux futurs succès de l'AC en pensant qu'il va pouvoir résoudre le problème des résistances au antibiotiques. Il faudriat pour cela que les médecins aient envie de changer leur habitudes or pour cela il faudriat une incitation extérieure qui ne peut venir que des albos qui n'ont aucun intérêt à promouvoir un procédé non brevetable. Donc c'est plié.
Ce livre est bvard et pourrait être amputé des deux tiers. La préface d'une doctoresse inconnue répète mot à mot les dires de l'auteur quelques pages plus loin. C'est du délayage. L'auteur ne dit pas de bêtise mais ce livre est excessivement pauvre. Il ne s'est même pas donné la peine d'évaluer les témoignages rapportés par Goldmann et entre le pseudo de l'homme doré et l'argent comme remède en or on est dans la symbolique commerciale de facilité.
Un futur vétérinaire envisage de consacrer sa thèse à l'argent colloïdal. L'éleveur que j'ai évoqué utilise le produit pour ses animaux (gale et eczéma pour un chat), diarrhée infectieuse chez des agneaux...

8 commentaires:

Zoky Andry a dit…

http://fr.clark-zapper.com/generateur-argent-colloidal.html

Anonyme a dit…

L ’argent colloïdal est une substance :
- Prébiotique : rééquilibre la flore intestinale avec un ef fet positif
sur la santé et stimule la croissance des probiotiques (les utiles)
- Antiseptique et antibiotique : élimine plus de 650 espèces de
microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons
et mycoplasmes, dont certains en MOINS DE 6 MINUTES !
En comparaison avec l'antibiotique traditionnel, l'argent colloïdal
est plus ef ficace et bien mieux toléré puisqu'il est absorbé dans
la partie supérieure de l'intestin, en évitant ainsi d'altérer la flore
bactérienne située dans la partie inférieure de l'intestin.
Dosage 1 pipette contient 5 ml ou 1 càc
5 ml de colloïde d’argent à 10 ppm fournit environ 50 mcg d’argent
-> dosage “nutrititif” adéquat, si consommé journellement.
T oute quantite superieure à 10 ml par jour ou 100 mcg
-> dosage “therapeutique ". Si periode prolongée, rester
dans les limites considerees purement nutritionnelles.
Si doses superieures, être prudent,
et seulement pour 1 ou 2 jours de suite.
Du fait que le foie élimine l'argent en environ 2 h,
il faut en prendre toutes les heures ou toutes les 2 h
pour maintenir une dose thérapeutique .
? une càc / h est à la fois sans danger et sage en cas d'infection.
T raitement Anti-Parasitai re :
Adulte : 1 à 3 pipettes (càc), 3 à 4 fois / jour ,
traitement de 1 à 3 mois
en entretien, 1 pipette (càc) matin et soir
Enfant : 1/2 dose adulte Bébé : 1 quart de la dose adulte
• tourner dans la bouche 30 sec avant d’avaler - absorption
dans l’organisme sans passage par la voie intestinale.
• petites doses, plusieurs fois par jour , ou avec les repas.
Dose orale de référence - exposition limite quotidienne (70 ans).
fixée à 5 mcg (Microgramme ) par kilo corporel et par jour ,
350 mcg pour un adulte de 70 kg -> ingestion quotidienne de 35 ml,
-> 7 c à café, à 10 ppm.
- La dose critique est la quantité journalière à ne pas dépasser :
15 mcg/kg, soit 1,05 mg pour en adulte de 70 kg, -> 105 ml
-> 7 c à soupe, à 10 ppm
Usage interne - 2 c à c (à 10 ppm) - suffisant pour l’entretien.

Unknown a dit…

Merci zoky fa tena tsara le article;

Unknown a dit…

Efa novakiako ilay boky PDF ; tena tsara io sady afaka ampiharina.

Unknown a dit…

Efa novakiako ilay boky PDF ; tena tsara io sady afaka ampiharina.

Anonyme a dit…

Bonsoir,

Mba mangataka ny fomba hi-contacter-na anao azafady tompoko.

RABARISALAMA Tanindrazana
e-mail : rtanindrazana@yahoo.com

Misaotra indrindra.

Marielle a dit…

Bonjour, comment vous contacter svp (sans publier mon adresse email ou mon téléphone ici ..) ? J'aimerais vous parler de l'argent colloïdal. C'est assez urgent svp (pour un animal malade). Merci d'avance

Celou a dit…

Bonjour et merci votre article est complet et bien explicite, Bravo pour ce partage de connaissance, je m'intéresse depuis peu a l'AC, ma philosophie rejoint la votre. Je vais essayé de faire ma machine moi même malgré mes lacunes en électronique .